Oikos – The Great Upheaval

Ravaged, Burned, neuf minutes et quelques d’errance contemplative. Oikos – désormais Rafael Femiano, seul maître à bord – ne pouvait commencer The Great Upheaval autrement. Porté par une mélodie magnifique, le morceau se compte en heures et enferme complètement. La guitare liquide occupe les devants, répète à l’envie ses notes et cache difficilement un arrière-plan qui, petit à…