Aride, abstrait et très contemplatif, Sombre porte très bien son nom. Pour OLO, le soleil n’est plus qu’une étoile morte et la chaleur, une vague sensation. Son ambient(-black-doom) s’inscrit dans le temps présent, elle joue avec le silence, la lenteur, se montre insaisissable et infiniment jusqu’au-boutiste. Elle se dévoile d’abord via un drone esseulé qui…
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