Dès Les Bergers, longue épopée de presque huit minutes qui ouvre le disque, une question envahit la boîte crânienne au même titre que la musique qui en est à l’origine : c’est quoi ce bordel ? Ça commence façon psycho-kraut intergalactique via des claviers que n’aurait pas reniés Charlie Oleg puis les voix débarquent. Un…
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